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Clovis Cornillac - Page 2

  • Grégoire Moulin contre l’humanité

    Bonjour je m’appelle Grégoire Moulin (Artus de Penguern) !

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    01.jpgJe suis arrivé à Paris il y a encore peu de temps et je dois dire que les choses sont bien différentes de ma petite province. J’ai trouvé un travail pas très excitant dans une compagnie d’assurance mais ça m’a permis de rencontrer la splendide Odile (Pascale Arbillot).


    Enfin, rencontrer pas tout à fait puisque cette prof de danse travaille juste en face de mon bureau et je ne peux m’empêcher de la regarder. A midi, j’ai eu l’idée de prendre son portefeuille dans son sac à main pour lui remettre plus tard ce qui aurait été l’occasion de se parler.

     

    02.jpgOn avait donc rendez-vous à 19H30 au bar Le Penalty mais à cause d’une photocopie tout tombe à l’eau car j’ai laissé mes affaires et le portefeuille dans les bureaux qui sont fermés. Je n’ai pas d’argent et en plus ce soir tout le monde est devant sa télé à regarder la finale entre l’Olympique de Paris et Perros Guirec !

     

    En savoir plus sur Grégoire Moulin contre l'humanité ?

  • Bellamy

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    Décidément, il n’y a pas de vacances qui tiennent pour l’inspecteur Paul Bellamy (Gérard Depardieu) qui va être sollicité dans un fait divers qui s’est déroulé dans la région de Nîmes. On a retrouvé l’épave d’une voiture qui s’est écrasée au bas d’une falaise et la victime semble être Emile Leullet (Jacques Gamblin), un agent d’assurances mais certains détails troublants viennent remettre en cause ces conclusions. Cela fait déjà quelques jours qu’un étrange individu vient roder aux alentours de la maison de Paul et il se trouve qu’il est justement impliqué dans cette affaire.

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    De l’action, un suspense haletant et une bonne dose d’adrénaline, ça vous branche ? Alors choisissez autre chose que Bellamy car le dernier film de Claude Chabrol ressemble plus à une adaptation grand écran de L’inspecteur Derrick qu’à L’inspecteur Harry. Evidemment tout est une affaire de gouts mais le rythme terriblement lent du film ainsi que le scénario légèrement alambiqué effacent vite les bonnes intentions des comédiens comme Clovis Cornillac ou Marie Brunel. Tout simplement pas le genre de films pour lequel le spectateur lambda ne paierait pas une place de cinéma.

     

    Il faut le voir pour : Constater que ce sont toujours les femmes qui sont à l’origine des complications !

  • Grégoire Moulin contre l’humanité

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    C’est une nouvelle vie qui commence pour notre pote d’enfance Grégoire Moulin (Artus de Penquern) qui est venu s’installer à Paris. C’est à la suite de la disparition de sa grand-mère terrassée en pleine chasse aux mouches qu’il a sauté le pas et a trouvé ce travail au sein de l’Urbaine d’assurance vendéenne. Un boulot pas très passionnant mais qui lui permet de voir et revoir la belle Odile Bonheur (Pascale Arbillot), une prof de danse qui travaille juste en face. A midi, il la retrouve à la brasserie mais n’ose pas l’aborder et il a alors l’idée de lui voler son portefeuille afin de lui rendre plus tard. C’est là que débutent les ennuis !

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    On n’est jamais mieux servi que par soi-même et c’est pourquoi  on retrouve Artus de Penquern aussi bien derrière que devant la caméra. Pour sa première réalisation, il nous offre ainsi une comédie complètement loufoque avec Grégoire Moulin contre l’humanité et un héros assez simplet qui va vivre de drôles d’aventures. Il ne faut pas s’attendre à des crises de rire mais on se laisse vite entrainer par les improbables péripéties de Grégoire. Film léger et sans prétention, ça vous fera passer du temps.

     

    Découvrez le film Dans la peau du héros !

  • Les chevaliers du ciel

    Antoine Marchelli (Benoit Magimel) a réalisé son rêve, celui de piloter un avion et il est vite devenu l’un des meilleurs dans sa catégorie. A ses cotés, on retrouve son équipier et pote d’enfance Sébastien Vallois (Clovis Cornillac) ; un pilote non moins talentueux mais au comportement parfois trop dissipé. A l’occasion d’une démonstration, un Mirage 2000 est dérobé sous leurs yeux et les 2 pilotes ont alors comme mission de neutraliser l’avion. En plein ciel, la moindre erreur se paie cash mais ils ne sont pas au bout de leurs surprises car ce vol n’était en fait qu’un exercice.

     

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    Quand on sait que le réalisateur de ce film est un certain Gérard Pirès, on serait tenté d’avoir quelques craintes. Pour rappel aux moins cinéphiles d’entre vous, il nous a notamment proposé le premier volet de la saga Taxi et un autre film passé relativement inaperçu Riders. Les chevaliers du ciel c’est aussi et surtout une bande dessinée crée par Jean-Michel Charlier & Albert Uderzo dont les premières aventures remontent tout de même à 1959 ! On pouvait s’attendre à un Furtif à la française mais en fait le scénario est plus développé qu’il n’y parait. Un bon film qui ne se contente donc pas de loopings pour nous amener au 7ème ciel.

  • Le nouveau protocole

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    Raoul Kraft (Clovis Cornillac) vient d’apprendre la terrible nouvelle : son fils Franck a trouvé la mort à la suite d’un accident de voiture. Effondré par cette tragédie, il ne prête même pas attention à cette jeune femme Diane (Marie-Josée Croze) venue le questionner sur un soi-disant médicament que son fils était en train de tester. Quand il se rend que sa maison a été visitée et que son armoire à pharmacie a été fouillée, il s’interroge sur ce médicament qui aurait pu avoir un effet secondaire et provoquer l’accident. Pour en avoir le cœur net, il va mener sa propre enquête et retrouver Diane qui va lui ouvrir les yeux sur les véritables intentions de l’industrie pharmaceutique.

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    Sujet très passionnant que le lobby pharmaceutique et ses dérives ! Sans vouloir être trop paranoïaque, il est évident qu’en la matière on nous cache pas mal de choses car comme partout lorsqu’il y a des enjeux financiers, il faut s’attendre à tout. Comme à son habitude, Clovis Cornillac excelle dans ce rôle de père à la recherche de la vérité ; son fils a-t-il été victime des expériences douteuses ? Si Le nouveau protocole n’a pas non plus les symptômes du polar haletant, la révélation finale donne une autre ampleur dramatique à ce film à prescrire aux amateurs du genre.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter d’abuser des médicaments.

  • Astérix aux jeux olympiques

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    Alafolix (Stéphane Rousseau) est amoureux de la princesse de Grèce Irina (Vanessa Hessler) mais celle-ci est déjà promise à Brutus (Benoit Poelvoorde), fils du grand empereur César (Alain Delon). Pour les départager, on décide alors que le vainqueur des prochains Jeux Olympiques décrochera le cœur de la belle princesse. Alafolix prend la direction d’Olympie en compagnie d’Astérix & Obélix (Clovis Cornillac & Gérard Dépardieu), avec la potion magique la victoire est assurée seulement Brutus a plus d’un tour dans son sac. D’autant plus que celui-ci a comme autre ambition de prendre la place de son père sur le trône !

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    Blockbuster français de l’année, Thomas Langmann avait sur les épaules l’énorme responsabilité de prendre la suite d’Alain Chabat. Fort d’un budget de plus de 78 millions d’Euros; Astérix aux jeux olympiques se donne comme ambition première d’être un vrai spectacle. Si on retrouve avec plaisir les personnages qui ont bercé notre enfance, il faut aussi dire que Langmann n’a pas pris beaucoup de risques. Une fois encore nos gaulois sont relégués à des seconds rôles et le grand show promis se révèle n’être qu’une petite comédie sympathique sans grande envergure. Les scènes manquent souvent de liant et le parterre de stars ne semble être là que pour attirer les spectateurs dans les salles.

     

    Il faut le voir pour : Retrouver vos gaulois préférés.

     

     

  • Eden log

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    C’est dans l’obscurité la plus totale que notre pote Tolbiac (Clovis Cornillac) s’est réveillé sans aucune idée du lieu où il se trouve. Il avance pas à pas dans ce sous-terrain jusqu’à ce qu’il fasse d’étranges découvertes. Des cadavres juchent son parcours mais aussi un nom qui revient fréquemment, celui d’Eden Log mais il faut être prudent car il entend au loin des cris. Des créatures rodent dans l’ombre et le seul moyen pour lui d’y échapper est de remonter à la surface, niveau par niveau. Au-delà de ces difficultés, il découvrira alors la grande vérité qui se cache derrière le nom d’Eden log.

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    En matière de science-fiction, on ne peut pas dire que le cinéma français soit vraiment bien loti. Avec un concept de départ rappelant vaguement Cube ; le réalisateur Franck Vestiel, qui signe là sa première réalisation au cinéma, tisse ensuite sa toile par ses images retranscrivant parfaitement l’univers glacial et déshumanisante modelant une société en perdition. Comme à son habitude, Clovis Cornillac est convaincant dans son rôle mais je n’ai pas vraiment accroché avec Eden Log. Si on est aspiré par l’esthétisme du film, au niveau de l’histoire on reste un peu dans l’expectative sans comprendre réellement toute l’ambition de l’auteur. A voir donc pour les plus curieux d’entre vous.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas planter d’arbre en ville.

  • Brice de Nice

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    Notre pote Brice Agostini (Jean Dujardin) mord la vie à pleine dent et chacune de ses journées commence de manière tonitruante dès 5 heures du matin.Son lieu de prédilection : la mer ! Quoi de plus normal pour un brillant surfeur tel que lui mais le seul souci est qu’il habite la ville de Nice ; on ne peut pas dire que la cote soit réputée pour la taille de ses vagues mais plutot comme un lieu de villégiature pour les nombreux retraités. Pendant ce temps, il profite de l’a fortune de son père pour organiser des fêtes gargantuesques mais du jour au lendemain, les choses changent ; son père est accusé de malversations et Brice doit se mettre à travailler !!

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    Ai-je vraiment besoin de vous présenter ce personnage farfelu et qui est vite devenu un des piliers de l’univers audiovisuel dont vous avez pu admirer les exploits autrefois sur France 2 ? Inventé par le comédien Jean Dujardin qu’il a intronisé durant l’émission Graine de Stars et qui est vite devenu le chouchou du public. Une fois le bonheur de retrouver cet énergumène atypique passé, s’installe une certaine monotonie dans le film mais il y a de bonnes suprirses avec la présence de Marius incarné par l’excellent Clovis Cornillac. Au final, Brice de Nice pourra certainement plaire à un public déjà acquis à la cause mais risque de laisser les autres avec un goût d’inachevé.

     

    Découvre le film Dans la peau du héros

  • Scorpion

     

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    Dans la vie d’Angelo (Clovis Cornillac), il n’y a de la place que pour une chose : la boxe thaïlandaise! Hélas, si notre pote est prêt physiquement pour entrer dans la compétition au point de vue mental il a encore des progrès à faire. Après s’être emporté, il tue accidentellement un de ses partenaires de combat. 6 ans plus tard, Angelo n’est plus que l’ombre de lui-même et c’est une ancienne connaissance, Marcus (Francis Renaud) qui va le relancer en lui proposant des combats de free-fight. Pas de  règles, tous les coups sont permis ce qui n’est pas pour lui déplaire !

     

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    Après Le serpent, Clovis Cornillac continue d’enrichir son zoo avec Scorpion que j’attendais beaucoup. Les amateurs de combat seront servis par une débauche de baston à l’état brut où le sang se mêle à la sueur mais en dehors de ça, il n’y a pas grand-chose à retenir de ce film. Si la transformation de Cornillac en combattant est plus que crédible, sa performance est occultée par un scénario assez simpliste avec le schéma habituel des gangsters réfugiés dans leur boite de nuit. Un films à réserver aux mecs qui aiment voir d’autres mecs se bastonner.

     

    Il faut le voir pour : Prendre un bain de testostérone !

  • Le Serpent

     

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    Ce n’est pas la joie pour Vincent Mandel (Yvan Attal) qui est en pleine instance de divorce. Photographe de mode heureux jusqu’alors, aujourd’hui il doit se battre pour que ses enfants ne quittent pas le pays avec leur mère. Comme si cela ne suffisait pas, voilà qu’une jeune femme venue pour une séance de photos l’accuse d’un viol totalement imaginaire mais l’histoire ne s’arrête pas là ! Le hasard a voulu qu’il retrouve un de ses potes d’enfance qu’il a connu à l’époque du collège Joseph Plender (Clovis Cornillac), une rencontre pas si anodine qu’il n’y parait.

     

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    Motivé avant tout par la présence du grand Clovis Cornillac, je suis allé voir Le serpent dans top savoir à quoi m’attendre. Finalement, on a droit à un petit thriller sur fond de vengeance minutieusement orchestré mais dieu que cela m’a paru long ! Dénué de surprises, l’intrigue nous endort sans compter que les scènes d’action se font plutôt rares mais heureusement le duo Attal/Cornillac est costaud et rend le film distrayant à défaut d’autre chose.

     

    Il faut le voir pour : Se rappeler qu'il faut rester en bons termes avec ses potes d'enfance !!